TIDIANES DU MONDE ENTIER, RÉVEILLEZ VOUS ! (SUITE 15)

Pour les Juifs, le Nom propre et définitif de Dieu est (יהוה). Pour eux il n’a pas avant ce nom de nom plus sacré et il n’y en aura pas,  après sa révélation au Prophète Moussa aleyhi salam au sommet du mont de Sinaï  lors de son entretien avec le Seigneur soubhanahou wa tahala. Dans les premières heures du judaïsme, le nom était couramment prononcé mais dans les dernières heures c'est-à-dire à  l’approche du la venue de Jésus fils de Marie aleyhi salam, ils perdirent complètement la prononciation correcte du nom sacré en s’interdisant de le prononcer du fait de son caractère éminemment sacré disaient-ils  et de le remplacer par Adonaï qui signifie Seigneur.

Etant issu du peuple juif, Jésus fils de Marie aleyhi salam, respecta cette interdiction   et c’est ainsi qu’après sa disparition les premiers chrétiens ne connurent même pas sa prononciation correcte et se contentèrent de la traduction latine de ce nom qui est YHWH.

On voit que c’est un nom qui s’écrit au moyen de quatre consonnes (Y est considéré ici comme une consonne puisque devant etre affecté d’une voyelle). Et  l’une des lettres est répétée.    

Pour revenir aujourd’hui à la prononciation correcte du nom sacré, les juifs et les chrétiens ont eu des difficultés certaines quant aux voyelles qu’ils doivent affecter aux quatre consonnes du nom sacré pour avoir la bonne prononciation.

Pour certains, il faut prononcer YaHWeH en affectant un « a » à la première  consonne et un « e » à la troisième consonne. Ainsi il est obtenu le nom que l’on retrouve dans certaines bibles : Yahweh

Pour d’autres, il faut prononcer YeHoWaH en affectant un « e » à la première consonne, un « o » à la deuxième consonne et un « a » à la troisième consonne. Ainsi il est obtenu le nom que l’on retrouve dans d’autres bibles : Yehowah qu’on a francisé Jéhovah.

Si on affecte un « a » à la première consonne, un « ou»  (la voyelle dammou en arabe)  à la deuxième consonne et un « a » à la troisième consonne, on obtient le nom de Dieu en islam YaHouWaH c'est-à-dire (ياهو)  qui signifie OH LUI !

Pour les Juifs, le Nom propre et définitif de Dieu est ALLAH (الله). Tout comme le tétragramme juif, il s’écrit au moyen de quatre consonnes et l’une d’elles est répétée. D’où une forte similitude entre les deux noms. 

En divisant le nom ALLAH en deux syllabes, on obtient l’article défini  Al (ال) et le pronom (له)  qui a la même signification que Huwa (هو) c'est-à-dire LUI. Donc AL-LAHOU signifie LE LUI !

Dès lors on constate que la signification des noms sacrés de Dieu reçus par chaque communauté détermine nettement son degré d’élévation et de rapprochement vis-à-vis de Dieu.. En effet on constate qu’en disant Yahouwah ياهو  « Oh Lui ! », on n’est pas en présence de Dieu et qu’Il est un peu lointain. Mais lorsqu’on dit Al-Lahou ال له on est en présence de celui qu’on invoque car l’article AL(ال) est défini

Dès lors on voit que si les judéo-chrétiens invoque Dieu par ياهو  pour qu’IL s’approche et les musulmans sont avec LUI  par ال له  lorsqu’IL s’est rapproché !   

CONCLUSION : Deux constats s’imposent

·         Le nom de Dieu YaHouWaH (Yahweh, Yahvé ou Jéhovah) a une écriture hébraïque (יהוה) mais sa prononciation est arabe (ياهو).

·         A partir de leur morphologie, on constate que le nom sacré de Dieu (الله) est le nom propre et définitif de Dieu et que (יהוה) est certes un nom propre mais il n’était pas définitif. 

Mais il faut signaler qu’une ’étude phonétique du nom de Dieu montre que les arabes ont aussi un problème avec la prononciation correcte du nom de Dieu ALLAH (الله). En effet  ils lisent le nom sacré en tirant sur le « Lam » comme s’il était affecté d’un « alif » alors qu’il est suivi par un autre « lam ». Si on lit le nom sacré correctement tel qu’il est écrit, on ne dirait pas ALAAH mais ALLAH en appuyant sur la prononciation du « lam ». Et cette prononciation est Poular ! 

Donc on constate que :

·         Le nom de Dieu YaHouWaH (Yahweh, Yahvé ou Jéhovah) a une écriture hébraïque mais sa prononciation est arabe

·          Le nom de Dieu ALLAH a une écriture arabe mais sa prononciation est Poular, la langue de l’Imam Ahmad Diallo le Mahdi Aleyhi salam  

 

TIDIANES DU MONDE ENTIER, RÉVEILLEZ VOUS ! (SUITE 14)

Je disais que l'Imam Ahmad DIALLO le Mahdi aleyhi salam est apparu le 18 safar 1391 coïncidant au 14 Avril 1971. Il est venu comme un voleur dans la nuit et vu l'état d'esprit dans lequel il a trouvé la communauté musulmane, on peut dire qu'il a totalement surpris les gens ; Non seulement la communauté s'est divisée en plusieurs groupes tel que l'avait prédit le Prophète Mouhammad slaws mais même le groupe dans lequel il est apparu (la tariqah tidianiya) s'est divisé en plusieurs groupuscules.

Malgré les importantes révélations du guide fondateur (le vénérable Cheikh Ahmad At Tidiani rla) sur la question du Mahdi (relayées par la plupart de ses compagnons à l'image de Seydi Mouhammad Ghaly rla), les tidianes n'ont pas accordé un réel intérêt au  mahdisme (la haqiqah ahmadiya) qui est l'aboutissement de la tariqah ahmadiya et de la sharriah mouhamadiya. Pourtant, il ne fait aucun doute qu’aujourd’hui nous vivons akhir zamaan l'époque d'apparition de l'Imam Mahdi aleyhi salam  et les chiites et les turcs à l'image de Haroun Yahya ont attendu avec beaucoup d'intérêt la réalisation de  cet événement grandiose alors que c'est les tidianes qui devraient être à l'avant garde.

Deux années après l’apparition du l'Imam Ahmad DIALLO le Mahdi aleyhi salam et à la suite du manque d’intérêt des gens vis-à-vis de cet événement capital, le Sénégal (suivi du reste du monde) est entré dans une formidable zone de turbulence et la situation se dégrade de plus en plus.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     

·         1973 est la première année d’une série de sècheresses qui sévit longuement et durement. Cette année-là, le monde rural est fortement ébranlé par l’absence totale des eaux de pluie, et une décimation presque complète du cheptel. Guettés par une famine généralisée, les paysans quittèrent leurs villages en masse et c’est le grand exode vers Dakar où l’Imam Ahmad DIALLO le Mahdi aleyhi salam vient d’apparaitre. Les âmes venaient-elles répondre à la Vérité d’Allah soubhanahou wa tahala nouvellement instituée ? Bamako, Conakry, Nouakchott et les autres capitales du monde ne connurent pas cette année-là le même flux d’exode.

·         Deux années après le Sénégal, c’est le monde en entier qui entre en difficulté avec une crise monetaire pire que celle de 1929 qui eut pour conséquence directe la chute de  l’URSS et l’éclatement du Communisme. Qui l’eut cru ? N’est ce pas les communistes qui disaient que la religion est l’opium du peuple ? Au Sénégal, les plans d’ajustement structurel voient le jour avec leurs lots de sacrifice et de désolation.  

·         Les années suivantes furent sèches et cela dura longtemps au point que les gens se dirent que c’est la sécheresse qui en est la cause ;  mais Allah soubhanahou wa tahala montra après qu’Il est capable de tout et que la sécheresse n’était qu’un moyen qu’il a utilisé pour manifester Sa colère envers les gens. Pendant tout ce temps les mosquées étaient remplies et les cérémonies religieuses bondées de monde.

·         En l’an 2000 les pluies reviennent mais avec leurs lots de désolations : inondations, glissements de terrain, séismes ravageurs, maladies multiformes et complexes, inflations galopantes, etc.…

 Chaque année un fléau frappa le Sénégal et on se rappelait encore  des années suivantes :

·         De l’année de  l’invasion des rongeurs qui ne laissèrent aucun coin du Sénégal. Cette année-là, les rats ont envahi les champs et les maisons et les conséquences furent désastreuses sur le plan sanitaire, écologique et économique. Ils pullulaient vraiment  car ils  parvinrent  même à dévorer  un bébé dans la région de Kaolack. Les medias eurent relayé dans leurs ondes cette triste information. Walahi !

·         De l’année où les oiseaux  envahirent  tout le sahel  et mangèrent toutes les récoltes et même les tiges de mil au moment où les paysans nourrissaient l’espoir de faire une grande récolte.  Cette année-là, au Mali  les oiseaux  formèrent un grand nuage  cachant le soleil ! Là aussi les conséquences furent désastreuses sur le plan sanitaire, écologique et économique.

·         De l’année où les criquets dans une couche de plusieurs centimètres et à perte de vue ont envahi les champs les routes et les maisons et  ont créé des accidents de la route mortels et raflèrent tout sur leur passage. Cette année-là, ils pullulèrent vraiment ! Voici une publication d’un journal de la place décrivant le jour où les criquets avaient envahi Dakar : «La capitale sénégalaise a été envahie mercredi 1er septembre 2004  par un des plus gros essaims de sauterelles qu’elle ait connu ces quinze dernières années. Les insectes, arrivés à la mi-journée dans la ville, sont déjà au centre des préoccupations des agriculteurs de la région, qui craignent de retrouver leurs terres ravagées. La veille, les ministres de la Défense et de l’Agriculture de dix pays d’Afrique de l’Ouest s’étaient réunis à Dakar pour décréter des mesures d’urgence afin de lutter contre l’invasion. Les pays africains de l’ouest du Sahara, fréquemment touchés par le fléau, avaient dû débourser plus de 500 millions de dollars pour faire face à la précédente invasion comparable, en 1989 ». 

·         De l’année où les grenouilles ont envahi les champs et les routes ; Le crépitement des tètes de grenouilles qui éclataient sous les pneus des véhicules sur plusieurs kilomètres résonnent encore dans la tete de certains d’entre nous. Le très distingué Serigne Cheikh Ahmad at Tidiani Sy avait d’ailleurs commenté cette situation insoutenable. Il disait qu’en entendant le son des têtes de grenouilles, de Dakar à Tivaouane, il se rendit compte que LI MAK YI DENGKAANEWOON AKSINA !   

·         De l’année où le bateau le Diola a sombré faisant des milliers de morts ; Devenant de ce coup, l’accident le plus meurtrier de l’Histoire. ou plus récemment, 

·         De l’année où le phénomène Barça-Barzakh a englouti beaucoup plus que le bateau le Diola. Ce fléau continue toujours de faire des victimes.

On peut aisément constater que tous les malheurs qu’Allah swt  envoya contre l’Egypte au temps du Prophète Moussa aleyhi salam sont  ceux  que le Seigneur a envoyés  aujourd’hui au Sénégal sous la présence de l’Imam Ahmad Diallo le Mahdi Aleyhi salam

PRENEZ LA MAIN QU'IL VOUS TEND !
Voici AHMAD Aleyhi Salam
Actuel Khalife de DIEU sur TERRE